Porteur du projet / auteur : ASTREDHOR
Période de réalisation du projet / date de publication : 2017
De quoi parle-t-on ? De l’inoculation de micro-organismes non-pathogènes pour améliorer la vigueur et la protection des plantes.
Pour qui ? Les producteurs
Méthode / source(s) : Essais en pépinière
Principaux résultats / résumé : La biotisation des substrats est une technique alternative à l’usage de produits phytophamaceutiques prometteuse, mais son efficacité irrégulière est à prendre en compte. D’après les résultats des expérimentations menées entre 2013 et 2015, il est préconisé de :
- utiliser cette technique de manière préventive, les effets bénéfiques disparaissant lorsque la pression parasitaire devient trop importante.
- installer des communautés diversifiées de micro-organismes en amont de la culture.
- privilégier le renouvellement des apports de produits plutôt que l’augmentation des doses.
- associer cette technique à une fertilisation raisonnée, celle-ci pouvant potentiellement bloquer le développement des micro-organismes et favoriser l’apparition de certaines maladies. L’effet de la biotisation compense dans de nombreux cas la diminution de fertilisation.
- réaliser des expérimentations préliminaires spécifiques afin de raisonner le choix des micro-organismes et donc des produits à utiliser en fonction des espèces et des cultivars cultivés ainsi que des contextes culturaux.
Quel intérêt / quelle utilisation ? Développer des méthodes alternatives à l’usage des produits phytopharmaceutiques pour la protection des plantes
Crédit Photo : ASTREDHOR/GIE Fleurs et plantes
Porteur du projet / auteur : ASTREDHOR
Période de réalisation du projet / date de publication : 2017
De quoi parle-t-on ? De l’optimisation de l’utilisation de l’énergie pour chauffer les serres
Pour qui ? Les producteurs
Méthode / source(s): Interventions, retours d'expériences
Principaux résultats/ résumé : En janvier 2017, s’est tenue une journée technique organisée par ASTREDHOR Seine-Manche et Auvergne-Rhône-Alpes en partenariat avec la Ville de Paris, Agrithermic et Clauger. Une synthèse reprend les interventions et retours d’expériences, parmi lesquels :
-Dans le site de production de végétaux de la commune d’Aix-les-bains, des mesures d’optimisation, dont l’optimisation de serres et une audit énergétique des serres, ont permis de réduire de 65% les émissions de gaz à effets de serre.
-Chez Benoist Horticulture, un projet de cogénération qui à partir d’une énergie fossile produit de l’énergie thermique et électrique atteint les 96% en rendement gaz.
-Le procédé Agrichauff permet de stocker le surplus de chaleur diurne de la serre dans les hydro-accumulateurs constitués de bidons d’eau placés sous les tablettes de culture, et de le restituer la nuit pour chauffer les serres.
Quel intérêt / quelle utilisation ? Développer des méthodes de production économes et favorables à l’environnement.
Crédit Photo : ASTREDHOR