En dehors des espaces verts, il existe des solutions de végétalisation urbaine alternatives qui intègrent la nature en ville : ce sont des projets isolés ou à plus petite échelle, conçus pour des lieux a priori moins propices au végétal.
Parcs, squares ou espaces verts urbains sont considérés comme les principales sources de chlorophylle pour le citadin. Mais c’est sans compter les bienfaits rendus par les arbres en milieu urbain, en alignement ou dans les cours d’école par exemple.
Dans cette optique, il revient aux pouvoirs publics de recenser ces bienfaits et les valoriser au maximum, grâce à des outils comme le barème de l’arbre. D’autres pistes de végétalisation sont également explorées dans les études soutenues par l’Interprofession VALHOR, comme celles sur les toitures des bâtiments ou les abords du tramway.